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Foire aux questions Kirghizstan (FAQ) !

Voici un aperçu des questions récurrentes que nous rencontrons de la part de nos participants en amont de leur expédition au Kirghizstan. Voir descriptif détaillé

Foire aux questions Kirghizstan (FAQ) !

Voici un aperçu des questions récurrentes que nous rencontrons de la part de nos participants en amont de leur expédition au Kirghizstan. Voir descriptif détaillé

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N’hésitez pas à les consulter, vous pourrez y trouver des réponses à certaines de vos questions ou à des questions que vous ne vous étiez pas encore posées sur l’expédition que vous allez vivre en Kirghizie !
Cela pourra également vous accompagner dans vos préparatifs !

Général :

Les enfants mineurs accompagnés peuvent-ils participer au séjour ? Si oui, à partir de quel âge et sous quelles conditions (physique, etc.) ?

Les enfants, accompagnés d’un parent (père, mère, frère ou sœur majeur, grand-mère, etc.) peuvent participer à une expédition à partir de 13 ans.
Entre 10 et 13 ans, il est envisageable de faire partir un jeune accompagné, mais chaque enfant étant différent, il est nécessaire de prendre la décision au cas par cas. Dans le cas d’un enfant si jeune, le projet doit être un projet commun avec le parent participant à l’expédition, et qu’il s’agisse d’une envie forte de l’enfant (et pas seulement du parent !). Si l’enfant envisage ce projet à reculons, nous ne souhaitons pas qu’il y participe, car les conditions de vie en expédition sont tout de même difficiles, et ce doit donc être une envie partagée.

L’enfant devra être muni d’une autorisation de sortie du territoire (http://www.education.gouv.fr/cid111...) et d’un passeport en cours de validité.
Nous exigeons également qu’il soit équipé d’une bombe d’équitation.

Tous les détails valables pour un adulte le sont de façon encore plus importante pour un mineur :
- n’avoir aucun problème de santé avéré ;
- être à jour de tous ses vaccins (pensez également à regarder avec votre médecin ceux recommandés pour le Kirghizstan) ;
- être sportif (dans la limite des capacités d’un enfant de son âge) ;
- avoir un intérêt pour l’observation animalière, car c’est le cœur du projet et nous ne pourrons pas nous en détourner pour satisfaire les besoins d’un enfant ;
- ne pas avoir d’appréhension face à un cheval, ni pour le monter ;
- être très bien équipé pour la pluie, le froid et le vent (c’est encore plus important que pour un adulte, et notamment au niveau des mains, des pieds et de la tête ).

Nous vous demanderons d’aller passer plusieurs nuits en bivouacs dès le printemps pour être certains que ce mode de vie convienne à l’enfant. Si possible, minimum 2 nuits autour de 3000 m d’altitude (afin de vérifier toute intolérance à l’altitude).
Quelques balades et randonnées équestres d’initiations en montagne sont également recommandées.

Enfin, pensez que c’est l’éducateur scientifique qui est responsable de son groupe.
Le parent devra donc accepter que certaines décisions concernant la sécurité de l’enfant notamment soient prises par l’éducateur même si celui-ci a un avis qui diffère. Parent et enfant feront parti du groupe à part entière !

Le Kirghizstan (Kirghizie) est-il un pays risqué ?

Cela fait une trentaine d’expéditions sur 10 ans que nous organisons au Kirghizstan et nous n’avons jamais eu aucun souci concernant la sécurité. Certaines villes françaises sont bien plus dangereuses que n’importe quel endroit du Kirghizstan. Les participants sont accompagnés du début à la fin (prise en charge à l’aéroport) de l’expédition par les encadrants d’Objectif Sciences International (OSI) possédant une grande expérience du pays et par les gardes de la réserve.
Le pays est le plus stable et le plus calme d’Asie centrale et les habitants souvent éleveurs nomades possèdent une tradition d’hospitalité hors du commun. Le contact avec la population est au contraire un des aspects les plus attachants du voyage.
Il est regrettable que l’actualité internationale fasse rapidement des amalgames et donne un aperçu erroné d’un pays qui gagnerait a être davantage connu.

Faut-il un visa pour séjourner au Kirghizstan ?

Depuis la fin de l’été 2012, l’état kirghize offre un visa de 60 jours aux ressortissants de plus de 45 pays dont la France, la Belgique et la Suisse
« General visa informations Kyrgyzstan ».
Il vous suffit donc d’avoir un passeport en cours de validité, tamponné par la douane à votre arrivée à l’aéroport de Bichkek (la date du tampon ferra foi). Le passeport doit être valable 6 mois après votre date de retour en France.

Faut-il être scientifique pour participer aux expéditions PANTHERA ?

Non ! Nos expéditions sont participatives et permettent à des personnes de tous horizons d’y participer. C’est ce qui les rends si riches !
Des éducateurs scientifiques vous accompagneront dans cette aventure !
Aucunes compétences ne sont nécessaires en science, en biologie, en suivi animal ou autre. Il vous suffit d’être intéressé et motivé.
Cependant, nous savons que vous avez tous des connaissances annexes et c’est ce qui nous intéresse ! Dans cette idée de séjours participatifs, nous vous demanderons d’apporter un maximum de vos compétences pour participer à la construction de l’expédition en elle même.
Vous pourrez, par exemple, proposer une petite formation premiers secours si vous êtes dans le milieu médical ou organiser une soirée astronomie si vous êtes passionné ou du métier !

Doit-on avoir un très bon niveau sportif pour participer aux expéditions ?

Nous proposons des expéditions scientifiques et non des treks à visée sportive !
Il est quand même nécessaire d’être en bonne santé. Les conditions de vie en milieu isolé, en haute montagne sont difficiles et contraignantes par rapport à nos conditions de vie habituelles.
Vous devrez donc être capable de faire 300 mètres de dénivelé/heure, sachant que les montagnes kirghizes n’ont pas de sentiers. Nous nous déplaçons en terrains variés, plus ou moins accidentés et les pentes peuvent aller jusqu’à 45 °C.
Il est donc important d’être en forme avant une de nos expéditions et d’avoir déjà pratiqué la montagne en période estivale.
Sans pour autant être un alpiniste chevronné !

Faut-il un niveau en équitation (galop) ?

Les chevaux seront nos compagnons de route tout au long de l’expédition. Si le fait de ne pas être un cavalier expérimenté n’est pas un soucis, nous ne pouvons cependant pas nous permettre une quelconque appréhension de l’animal. Nous ne pouvons pas nous passer de lui !
Quelques balades à cheval, encadrées, dans la nature, en terrains variés, avant de partir seront suffisantes et ne peuvent être que bénéfiques pour vous !

Je suis étudiant, puis-je valider un stage dans le cadre de mon école ou de mon université ?

Tout à fait. Nous accueillons régulièrement des étudiants qui valident un stage de terrain. Cela fait également une très bonne expérience de terrain pour votre CV.
Il est également intéressant pour nous et nos participants de travailler sur des supports pédagogiques ou les données récoltées au fil des missions.
Cependant, il est important que vous soyez conscient que n’avons pas le personnel disponible pour vous encadrer dans un travail de fond tout au long de l’année (analyses statistiques, rédaction de la thèse, etc.), ni de local pour vous accueillir. Il vous faudra être autonome, en télétravail et avoir un encadrement fort de la part de vos professeurs !

Est-ce possible d’arriver quelques jours avant l’expédition ou de repartir quelques jours après ?

Il est tout à fait possible, si vous le souhaitez, d’arriver plus tôt et/ou de repartir plus tard que les dates d’expéditions prévues.
Vous serez autonomes, sans encadrement ni responsabilité de notre part. Vous devrez vous organiser pour retrouver le groupe avec votre éducateur scientifique sans impacter sur le début de l’expédition.
De façon générale, afin que vous ne soyez pas fatigué pendant la mission et que vous soyez à l’aise pour votre périple, nous vous recommandons plutôt de rester après la mission.

Dans quelle langue communiquera le groupe ?

Le groupe est généralement composé de francophones.
Si votre encadrant n’est pas suffisamment à l’aise en russe, il sera secondé par un assistant guide qui parle généralement Anglais, Russe et Kirghize (avec pour certains quelques notions de français).
Vous pourrez ainsi facilement dialoguer avec les gardes des réserves, les locaux et les jeunes kirghizes, s’il y en a qui participent à votre expédition.
Enfin, nous avons rédigé un lexique qui vous permettra d’apprendre quelques mots et expressions avant votre départ.

Aura-t-on accès à du wifi pour contacter nos proches ?

Oui à Bichkek, Naryn et Karakol (à la maison d’hôte ou en cyber-café), mais ce ne sera donc que le premier et le dernier jour d’expédition.
Il y a cependant le journal de bord de l’expédition qui est alimenté environ tous les 2 jours par un membre de l’équipe en France. Il recevra les informations envoyées par le biais du téléphone satellite (ce téléphone est réservé aux urgences et à l’alimentation du journal de bord).

Qui va s’occuper de préparer et d’équiper les chevaux tous les matins ?

Les chevaux sont laissés en liberté pour la nuit avec les pattes entravées à la mode kirghizes, ce qui leurs permet de s’alimenter et de se déplacer.
Les gardes chasses de chaque réserve s’occupent généralement de regrouper les chevaux le matin, de les harnacher et de les charger. Cependant votre participation sera la bienvenue afin de gagner en temps et surtout en convivialité !
Rappelons que c’est une expédition participative.

A-t-on des sacoches pour charger les chevaux ?

En effet, les gros sacs à dos de randonnées sont peu confortables pour les chevaux et les cavaliers.
L’ONG est donc équipée d’un nombre suffisant de sacoches où vous transférerez votre matériel + le matériel collectif (nourriture et matériel scientifique).
Vous partagerez donc votre sacoche.
Pensez à bien les équilibrer (qu’il n’y ai pas un côté plus lourd que l’autre) et à mettre votre matériel dans un grand sac poubelle (en cas de pluie ou pour les traversées de torrents).

Va-t-on traverser des torrents à cheval ?

En effet, lors des déplacements dans les réserves, vous traverserez des torrents afin de changer de rive et de camps.
Nous le réalisons toujours un maximum en sécurité, avec l’aide d’un garde pour les personnes qui ne seraient pas à l’aise !

Est-ce vraiment utile de traiter l’eau de boisson ?

Nous vous recommandons d’utiliser des pastilles (type « Micropur ») ou bien une pompe spéciale pour traiter votre eau de boisson ou de boire de l’eau ayant déjà bouilli (thé), en ville comme en montagne. Nous n’avons pas de sources, l’eau provient des torrents et des glaciers.
Vous pouvez vous procurer ces pastilles et pompes dans les magasins de sport ou en pharmacie.
Vous ne serez au Kirghizstan que pour quelques semaines, ce qui limite votre temps d’adaptation aux bactérie locales et il nous semble inutile de prendre des risques pour votre santé et ainsi de risquer de compromettre votre expédition...

Qui fait la cuisine ?

Les gardes chasses des réserves s’occupent généralement de la confection des repas.
Cependant votre participation sera la bienvenue afin de gagner en temps et surtout en convivialité !
Rappelons que c’est une expédition participative !

Je suis végétarien, est-ce contraignant en expédition ?

Dans la culture kirghize la viande (notamment le mouton) est présente dans la grande majorité des plats mais généralement en petits morceaux que vous pourrez facilement écarter.
Sachez tout de même que l’élevage pratiqué sur place est extensif .
Pour les pique-niques n’hésitez pas à vous prendre 2-3 pattés végétariens qui agrémenteront et permettront de varier un peu le menu.

J’ai un régime sans gluten, est-ce contraignant en expédition ?

Il faut avouer que ce n’est pas encore dans les mœurs kirghizes, il n’est donc pas aisé de se procurer des produits sans gluten au Kirghizstan. Il vous faudra donc bien nous le préciser avant l’expédition.
Etant donné que le pain est un des produits incontournable au petit déjeuner et chaque midi en piques niques, nous vous demanderons de venir avec un stock personnel de galettes ou autres produits permettant de remplacer ce pain.
Pour ce qui est des repas du soir les autres féculents (riz, pommes de terres, sarrasin) devraient vous permettre de prendre les repas chaud comme tout le monde. Quelques pâtes à cuisson rapides pourront cependant vous dépanner lors des quelques repas à base de pâtes.

Est-il possible de partir sur ce séjour en étant asthmatique ?

Tout dépend si c’est un asthme très léger en montagne en France ou s’il est déjà important à faible altitude et faible effort...
L’asthme sera aggravé avec l’altitude et le climat (air plus sec —> irritation des bronches et oxygène en plus faible concentration en altitude)
On ne fait pas d’effort très violent comme on marche doucement en observant les indices de présence, mais suivant le niveau sportif de la personne et son degré d’asthme l’altitude peut faire comme si on faisait un effort violent.
Nous demandons d’en parler avec un médecin et d’insister sur le fait qu’on va être en altitude (plus de 2500 m jusqu’à 4000 m).
Dans tous les cas il faut partir avec le nécessaire en cas de crise (ventoline et autre).

Les ours ou les autres prédateurs, sont-ils dangereux dans la réserve ? Les gardes sont-ils armés ?

Non ! Les gardes ne sont pas armés, ce n’est pas utile.
Les ours kirghizes ne sont pas des grizzlis ! Si vous avez l’occasion d’en apercevoir un, il fuira généralement à l’instant même où il vous aura senti ou aperçu !
Il en est même pour les autres grands prédateurs présents au Kirghizstan.

Va-t-on rencontrer des moustiques ou des tiques au Kirghizstan ?

En effet, il se peut que vous rencontriez des moustiques à Bichkek et à Naryn.
Prenez de quoi les repousser.
Pour les tiques, de mémoire nous n’avons pas vu, mais ça ne veut pas dire qu’il n’y en a pas du tout !

Combien nous faut-il prévoir d’argent pour les « à côté » ? Doit-on changer en SOM (devises kirghize) à l’avance ?

Vous n’aurez besoin que de quelques euros pour acheter des souvenirs avant votre retour ou si vous souhaitez prendre quelques suppléments, notamment plusieurs apéritifs au restaurant ! 50-100 € seront donc amplement suffisants.
Prenez des coupure de 50 €, et pas en dessous, vous pourrez changer plus facilement.
Ne cherchez pas à changer en France ni à votre arrivée à l’aéroport. Vous le ferrez calmement une fois avec votre éducateur qui saura vous conseiller.

Si vous aviez un coup de cœur pour quelque chose de plus onéreux, vous pourrez toujours retirer un peu d’argent à un distributeur avec votre CB. (Vous aurez quelques frais de transaction puisque vous serez à l’étranger. Renseignez-vous à l’avance auprès de votre banque et pensez à noter dans un coin le numéro pour faire opposition en cas de perte de votre CB !).

Doit-on prévoir des pourboires pour nos hôtes, les gardes chasses ou toute autre personne rencontrée ?

Nous ne réalisons pas un voyage à visée touristique et n’avons donc pas ce type de pratique avec les quelques prestataires que nous employons. C’est votre éducateur scientifique qui se chargera de rémunérer ces quelques personnes.
Vous pouvez cependant prévoir de leur laisser un petit cadeau personnel qui aura bien plus d’effet !

Peut-on associer nos billets de train et d’avion au reçu fiscal ?

Bien sûr, il vous suffit d’en faire la demande et de transférer la facture à la personne qui vous a inscrit (avant ou après votre expédition).

Matériel personnel :

Y-a-t-il un endroit de confiance où nous pouvons déposer un peu de matériel inutile en montagne mais que je souhaites avoir en ville ?

Il peut arriver que vous ayez besoin de laisser, dans la mesure du raisonnable, un peu de matériel utile en ville mais encombrant et inutile dans la réserve (téléphone portable, housse pour le sac qui voyage en soute, etc.).
Vous pourrez le laisser (dans la mesure du raisonnable) dans des endroits de confiance que nous vous indiquerons et où nous transférerons le matériel dans les sacoches pour les chevaux.

Faut-il réellement du matériel pour le froid ?

Votre expédition va se dérouler en montagne à des altitudes supérieures à 2500 - 3000 m et jusqu’à 4500 m. Si vous regardez la météorologie actuelle à Bichkek ou Naryn, les températures sont souvent bonnes puisque ces villes sont situées autour des 1000 m d’altitude sous un climat continental.
N’oubliez pas que nous partons en haute montagne et en autarcie pendant une dizaine de jours...
On a l’habitude de dire qu’en montagne, on peut avoir les 4 saisons dans une même journée !
Il est donc impératif de toujours avoir au fond de son sac à dos : bonnet, gants, veste (du type doudoune) et une sur-veste imperméable, respirante et coupe vent (type Gore-Tex).

Va-t-on se déplacer dans la neige ?

Nous ne nous déplacerons pas sur les glaciers et nous ne traverserons que rarement des névés. Cependant il peut neiger à tout moment de l’année en haute montagne, vous pouvez être amené à vous déplacer dans quelques centimètres de neige et avoir un de la neige sur la tente le matin.

Faut-il des couleurs du type camouflage ?

En effet, nous vous les recommandons dans la mesure du possible puisque ce sont des expéditions à visée naturalistes.
Mais privilégiez avant tout votre confort personnel et la qualité des matériaux.

Les jumelles et longue vue sont-elles fournis aux participants ?

Nous ne pouvons malheureusement pas nous permettre de fournir des jumelles à tous nos participants.
Nous vous demandons donc de venir équipés (jumelles en 8x42 ou 10x42).
Vous aurez tout de même une longue vue à disposition pour l’ensemble du groupe.
Si vous amenez votre matériel personnel, c’est un confort supplémentaire !

Dois-je prendre un carnet de notes ?

Oui, prenez un petit carnet et un crayon pour noter vos pensées en expéditions mais aussi les données sur la faune que vous allez noter lors des transects.

Comment recharger mon appareil photo dans la réserve ?

A présent il existe de petit accumulateurs de charge type « Powerbank » ou « Powerstick » qui sont peu onéreux et peu volumineux.

Je suis fumeur, comment puis-je faire pendant l’expédition ?

Il vous faudra prévoir et anticiper votre consommation. Vous pourrez néanmoins vous en procurer lors de votre arrivée à Bichkek.
Il vous faudra cependant penser à stocker et ramener vos mégots dans vos bagages...
Cette expédition peut-être l’occasion de diminuer votre consommation !

Comment faire si j’ai mon cycle menstruel pendant l’expédition ?

3 solutions s’offrent à vous mesdames !
1) La coupe menstruelle (pratique, hygiénique et écologique).
2) Enchainer à la suite 2 plaquettes de pilules (solution facile pour les personnes déjà sous contraception et sous avis médical).
3) Transporter vos serviettes et tampons hygiéniques (mais vous devrez anticiper et surtout transporter tous vos déchets jusqu’à votre retour en ville...).

Que me recommandez-vous pour faire ma toilette en expédition ?

Le camp sera généralement à proximité d’un torrent pour les besoins en eau de boisson notamment. Nous vous recommandons donc simplement de prendre un petit gant de toilette et des produits biodégradables afin de faire votre toilette dans un endroit isolé au bord du torrent.
Nous vous déconseillons de vous baigner intégralement (eau des glaciers) sous peine de vite tomber malade...
Le groupe aura 2 douches solaires à disposition, cependant il faut penser à les recharger dès l’installation du camp et après utilisation. Rappelons que c’est une expédition participative.
Et surtout qu’elles ont besoin de soleil...
Vous pouvez également utiliser des lingettes les jours de mauvais temps, mais n’oubliez pas de ramener l’intégralité de vos déchets dans votre sac à dos...

Doit-on prendre du papier toilette ?

Nous vous recommandons d’en prendre un petit rouleau de dépannage dans votre sac (notamment pendant les trajets).
Vous en achèterez avec votre encadrant pour l’ensemble du groupe avant votre départ dans la réserve.

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